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 "description": "Cette couche de données localise et fournit des informations descriptives sur les masses d'eaux souterraines en 2017 en Région wallonne.\nLa Directive Cadre sur l\u2019Eau (DCE-2000/60/CE) introduit la notion de \"masses d\u2019eaux souterraines\" qu\u2019elle définit comme \"un volume distinct d\u2019eau souterraine à l\u2019intérieur d\u2019un ou de plusieurs aquifères\" (article 5 et Annexe II).\nSelon cette même Directive Cadre, un aquifère représente \"une ou plusieurs couches souterraines de roches ou d\u2019autres couches géologiques d\u2019une porosité et d\u2019une perméabilité suffisantes pour permettre soit un courant significatif d\u2019eau souterraine, soit le captage de quantités importantes d\u2019eau souterraine\".\nLes masses d\u2019eau souterraine, telles que définies dans la DCE, peuvent être délimitées tant suivant des critères hydrogéologiques que suivant des critères non hydrogéologiques. Les limites des masses d\u2019eau souterraine peuvent également tenir compte d'impératifs liés à la gestion même de la masse d'eau.\nLes critères retenus sont:\na. Critères hydrogéologiques :\n- Etendue et caractéristiques des couches géologiques ;\n- Zone d\u2019alimentation ;\n- Ligne de partage des écoulements souterrains ;\n- Liaison hydraulique entre les couches géologiques ;\n- Interaction avec les eaux de surface et les écosystèmes terrestres associés ;\n- Propriétés hydrochimiques,\n- Distinction entre les nappes libres et les nappes captives.\nb. Critères non hydrogéologiques :\n- Captage ou la possibilité de captage ;\n- Impact des pressions, tant le captage que la pollution, sur les masses d\u2019eau, les écosystèmes terrestres et les dégâts aux couches ou aux biens non meubles à la surface de la terre (comme les affaissements) ;\n- Ligne de partage des eaux de surface ;\n- Limites administratives\nChaque masse d'eau souterrain est caractérisée par une fiche signalétique, disponible sur le site de la Directive Cadre sur l'Eau. Les fiches par masse d\u2019eau souterraine sont destinées à préciser l\u2019état des lieux des districts hydrographiques en identifiant autant que possible le caractère propre de chaque masse d\u2019eau.\nLa désignation et la première caractérisation des masses d'eau souterraine ont nécessité l'adoption préalable d'une méthodologie. Celle-ci a été établie par l'Administration (DGO3) et l\u2019ex-Observatoire des Eaux souterraines en concertation entre les Services concernés du SPW (DGO3- Direction générale de l\u2019Agriculture, des Ressources naturelles et de l'Environnement) et de l\u2019ex-MET (DGO2 \u2013 Direction générale de la Mobilité et des Voies hydrauliques).\nEnfin, une coordination pour les masses d'eau frontalières a été assurée avec les administrations flamande, française, allemande et néerlandaise, dans le cadre des Commissions internationales pour la Meuse, l'Escaut et le Rhin.\nLa méthodologie a été approuvée le 10 décembre 2003 par la Plateforme Permanente pour la Gestion Intégrée de l\u2019Eau (PPGIE).\nEn avril 2017, la masse d\u2019eau souterraine RWE031 a été scindée en 2 nouvelles masses d\u2019eau RWE033 et RWE034 (sur base de la différence des pressions exercées et des altérations constatées).\nLa couche de données est symbolisée suivant le type de masses d'eaux souterraines : soit supérieures (les moins profondes) ou inférieures.\nLa Directive Cadre sur l\u2019Eau (DCE-2000/60/CE) introduit la notion de \"masses d\u2019eaux souterraines\" qu\u2019elle définit comme \"un volume distinct d\u2019eau souterraine à l\u2019intérieur d\u2019un ou de plusieurs aquifères\" (article 5 et Annexe II).\nSelon cette même Directive Cadre, un aquifère représente \"une ou plusieurs couches souterraines de roches ou d\u2019autres couches géologiques d\u2019une porosité et d\u2019une perméabilité suffisantes pour permettre soit un courant significatif d\u2019eau souterraine, soit le captage de quantités importantes d\u2019eau souterraine\".\nLes masses d\u2019eau souterraine, telles que définies dans la DCE, peuvent être délimitées tant suivant des critères hydrogéologiques que suivant des critères non hydrogéologiques. Les limites des masses d\u2019eau souterraine peuvent également tenir compte d'impératifs liés à la gestion même de la masse d'eau.\nLes critères retenus sont:\na. Critères hydrogéologiques :\n- Etendue et caractéristiques des couches géologiques ;\n- Zone d\u2019alimentation ;\n- Ligne de partage des écoulements souterrains ;\n- Liaison hydraulique entre les couches géologiques ;\n- Interaction avec les eaux de surface et les écosystèmes terrestres associés ;\n- Propriétés hydrochimiques,\n- Distinction entre les nappes libres et les nappes captives.\nb. Critères non hydrogéologiques :\n- Captage ou la possibilité de captage ;\n- Impact des pressions, tant le captage que la pollution, sur les masses d\u2019eau, les écosystèmes terrestres et les dégâts aux couches ou aux biens non meubles à la surface de la terre (comme les affaissements) ;\n- Ligne de partage des eaux de surface ;\n- Limites administratives\nChaque masse d'eau souterrain est caractérisée par une fiche signalétique, disponible sur le site de la Directive Cadre sur l'Eau. Les fiches par masse d\u2019eau souterraine sont destinées à préciser l\u2019état des lieux des districts hydrographiques en identifiant autant que possible le caractère propre de chaque masse d\u2019eau.\nLa désignation et la première caractérisation des masses d'eau souterraine ont nécessité l'adoption préalable d'une méthodologie. Celle-ci a été établie par l'Administration (DGO3) et l\u2019ex-Observatoire des Eaux souterraines en concertation entre les Services concernés du SPW (DGO3- Direction générale de l\u2019Agriculture, des Ressources naturelles et de l'Environnement) et de l\u2019ex-MET (DGO2 \u2013 Direction générale de la Mobilité et des Voies hydrauliques).\nEnfin, une coordination pour les masses d'eau frontalières a été assurée avec les administrations flamande, française, allemande et néerlandaise, dans le cadre des Commissions internationales pour la Meuse, l'Escaut et le Rhin.\nLa méthodologie a été approuvée le 10 décembre 2003 par la Plate-forme Permanente pour la Gestion Intégrée de l\u2019Eau (PPGIE).\nEn avril 2017, la masse d\u2019eau souterraine RWE031 a été scindée en 2 nouvelles masses d\u2019eau RWE033 et RWE034 (sur base de la différence des pressions exercées et des altérations constatées).\nLa couche de données est symbolisée suivant le type de masses d'eaux souterraines : soit supérieures (les moins profondes) ou inférieures. \nPour plus d'informations sur cette donnée, consultez http://geoportail.wallonie.be/catalogue/65a3b0bf-8f02-4823-b103-170905796f6d.html ",
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