Description: Cette couche de données est le résultat cartographique de l'identification et la classification des types de tissu urbanisé wallons et illustre le potentiel de transformation de ces derniers.
La typologie des tissus urbanisés wallons est un résultat d'une recherche CPDT (Conférence Permanente du Développement Territorial) sur la densification des tissus urbanisés. Cette recherche a été menée par le Centre de Recherches et d'Études pour l'Action Territoriale (UCL - CREAT) en 2014.
Par définition, le tissu urbanisé est un concept plus large que le tissu urbain, qui fait spécifiquement référence à la ville. Il intègre les notions de tissus rural et périurbain, qui répondent à des logiques et structures spatiales différentes. Dès lors, on peut considérer que le tissu urbanisé est peu urbain.
L’élaboration de la typologie des tissus urbanisés est le fruit d’une méthode d’identification morphologique systématique. La caractérisation des tissus urbanisés repose sur le choix et le croisement d'indicateurs morphologiques structurants, à savoir i) le réseau des voies, ii) les découpages fonciers (parcellaires) et iii) les constructions (nombre de façades, d'étages, âge du bâti). Les principes méthodologiques sont explicités en généalogie et dans les documents associés à la présente fiche.
Le résultat de la méthodologie est la définition de douze tissus urbanisés wallons, caractérisés en types :
- Ouvert (isolé) ancien : tissu constitué d’immeubles datant d’avant 1945 isolés sur des grandes parcelles de plus de 6.5 ares implantées principalement hors des agglomérations;
- Ouvert (isolé) en ruban : tissu résultant d’une urbanisation extensive spontanée de maisons isolées sur des grandes parcelles de plus de 6.5 ares;
- Ouvert (isolé) en ensemble : tissu résultant d’un projet d’ensemble récent de maisons isolées sur des parcelles régulières de taille moyenne (entre 2.5 et 6.5 ares);
- Ouvert (isolé) haut : tissu résultant d’un projet d’ensemble d’immeubles à appartements de plus de trois étages isolés sur des grandes parcelles de taille variable;
- Mitoyen continu ancien : constitue le centre historique de la localité
- Mitoyen continu d'extension : se situe généralement aux anciennes portes de ville et de village et s’étire le long des voies structurantes;
- Mitoyen continu récent : se retrouve principalement dans les faubourgs et en frange urbaine;
- Mitoyen continu haut : Cette évolution des bords d’un tissu urbanisé se retrouve principalement dans les premières couronnes des grandes villes, au droit d’espaces ouverts très larges (cours d’eau, boulevard, place);
- Mitoyen discontinu ancien : constitue entre autres le noyau villageois historique;
- Mitoyen discontinu d'extension : s’étire hors agglomération et résulte d’un tracé à travers un plateau agricole ou dans une vallée;
- Mitoyen discontinu récent : se situe principalement dans les faubourgs des villes. Il est le résultat d’un projet d’ensemble construit récent de maisons jumelées sur des parcelles régulières de taille moyenne (entre 2.5 et 6.5 ares).
La cartographique des typologies des tissus urbanisés est une couche au format vecteur. La découpage est le résultat d'une "tessellation par la bissectrice" qui rend la forme du tissu en s'affranchissant du périmètre de l’ilot bâti. Il fait apparaitre les fronts bâtis hybrides présentant une hétérogénéité due à la présence de plusieurs types de bâtis.
Ce découpage a ensuite été redécoupé par le plan de secteur afin d’être limités aux zones de terrains résidentiels. Les ZACC non urbanisées et implantations non-résidentielles n’apparaissent donc pas dans la cartographie.
Chaque type de tissu a ensuite fait l’objet d’une analyse quantitative et qualitative ayant pour objectif d’en calculer les densités, l’intensité, de faire émerger les qualités urbanistiques des tissus et d’identifier les opportunités de densification visant l’amélioration du cadre de vie.
Cette typologie n’a pas pour ambition d’être exhaustive et détaillée, elle doit donc être utilisée en connaissance de cause comme un outil et non un atlas descriptif en soi. En effet, émanant d’une recherche sur les densités et la densification des tissus résidentiels, elle ne reprend pas les tissus industriels, économiques et productifs. Ensuite, les configurations du bâti sont ici modélisées dans un objectif de généralisation proposant une première lecture du territoire urbanisé wallon à l'échelle régionale et un support de mesures. Une analyse "qualitative" plus détaillée des tissus urbanisés devra tenir compte des conditions locales des cas d’études et faire l’objet de relevés de terrain et d’analyses de documents cartographiques anciens.
- Après ce résumé, sautez une ligne puis ajoutez le texte suivant :
Consultez toutes les informations sur cette donnée sur : http://geoportail.wallonie.be/catalogue/8658897c-27a9-44a5-8eb8-ff5752d3a33f.html.
Description: Cette couche de données est le résultat cartographique de l'identification et la classification des types de tissu urbanisé wallons et illustre le potentiel de transformation de ces derniers.
La typologie des tissus urbanisés wallons est un résultat d'une recherche CPDT (Conférence Permanente du Développement Territorial) sur la densification des tissus urbanisés. Cette recherche a été menée par le Centre de Recherches et d'Études pour l'Action Territoriale (UCL - CREAT) en 2014.
Par définition, le tissu urbanisé est un concept plus large que le tissu urbain, qui fait spécifiquement référence à la ville. Il intègre les notions de tissus rural et périurbain, qui répondent à des logiques et structures spatiales différentes. Dès lors, on peut considérer que le tissu urbanisé est peu urbain.
L’élaboration de la typologie des tissus urbanisés est le fruit d’une méthode d’identification morphologique systématique. La caractérisation des tissus urbanisés repose sur le choix et le croisement d'indicateurs morphologiques structurants, à savoir i) le réseau des voies, ii) les découpages fonciers (parcellaires) et iii) les constructions (nombre de façades, d'étages, âge du bâti). Les principes méthodologiques sont explicités en généalogie et dans les documents associés à la présente fiche.
Le résultat de la méthodologie est la définition de douze tissus urbanisés wallons, caractérisés en types :
- Ouvert (isolé) ancien : tissu constitué d’immeubles datant d’avant 1945 isolés sur des grandes parcelles de plus de 6.5 ares implantées principalement hors des agglomérations;
- Ouvert (isolé) en ruban : tissu résultant d’une urbanisation extensive spontanée de maisons isolées sur des grandes parcelles de plus de 6.5 ares;
- Ouvert (isolé) en ensemble : tissu résultant d’un projet d’ensemble récent de maisons isolées sur des parcelles régulières de taille moyenne (entre 2.5 et 6.5 ares);
- Ouvert (isolé) haut : tissu résultant d’un projet d’ensemble d’immeubles à appartements de plus de trois étages isolés sur des grandes parcelles de taille variable;
- Mitoyen continu ancien : constitue le centre historique de la localité
- Mitoyen continu d'extension : se situe généralement aux anciennes portes de ville et de village et s’étire le long des voies structurantes;
- Mitoyen continu récent : se retrouve principalement dans les faubourgs et en frange urbaine;
- Mitoyen continu haut : Cette évolution des bords d’un tissu urbanisé se retrouve principalement dans les premières couronnes des grandes villes, au droit d’espaces ouverts très larges (cours d’eau, boulevard, place);
- Mitoyen discontinu ancien : constitue entre autres le noyau villageois historique;
- Mitoyen discontinu d'extension : s’étire hors agglomération et résulte d’un tracé à travers un plateau agricole ou dans une vallée;
- Mitoyen discontinu récent : se situe principalement dans les faubourgs des villes. Il est le résultat d’un projet d’ensemble construit récent de maisons jumelées sur des parcelles régulières de taille moyenne (entre 2.5 et 6.5 ares).
La cartographique des typologies des tissus urbanisés est une couche au format vecteur. La découpage est le résultat d'une "tessellation par la bissectrice" qui rend la forme du tissu en s'affranchissant du périmètre de l’ilot bâti. Il fait apparaitre les fronts bâtis hybrides présentant une hétérogénéité due à la présence de plusieurs types de bâtis.
Ce découpage a ensuite été redécoupé par le plan de secteur afin d’être limités aux zones de terrains résidentiels. Les ZACC non urbanisées et implantations non-résidentielles n’apparaissent donc pas dans la cartographie.
Chaque type de tissu a ensuite fait l’objet d’une analyse quantitative et qualitative ayant pour objectif d’en calculer les densités, l’intensité, de faire émerger les qualités urbanistiques des tissus et d’identifier les opportunités de densification visant l’amélioration du cadre de vie.
Cette typologie n’a pas pour ambition d’être exhaustive et détaillée, elle doit donc être utilisée en connaissance de cause comme un outil et non un atlas descriptif en soi. En effet, émanant d’une recherche sur les densités et la densification des tissus résidentiels, elle ne reprend pas les tissus industriels, économiques et productifs. Ensuite, les configurations du bâti sont ici modélisées dans un objectif de généralisation proposant une première lecture du territoire urbanisé wallon à l'échelle régionale et un support de mesures. Une analyse "qualitative" plus détaillée des tissus urbanisés devra tenir compte des conditions locales des cas d’études et faire l’objet de relevés de terrain et d’analyses de documents cartographiques anciens.
- Après ce résumé, sautez une ligne puis ajoutez le texte suivant :
Consultez toutes les informations sur cette donnée sur : http://geoportail.wallonie.be/catalogue/8658897c-27a9-44a5-8eb8-ff5752d3a33f.html.
Description: Cette couche de données est le résultat cartographique de l'identification et la classification des types de tissu urbanisé wallons et illustre le potentiel de transformation de ces derniers.
La typologie des tissus urbanisés wallons est un résultat d'une recherche CPDT (Conférence Permanente du Développement Territorial) sur la densification des tissus urbanisés. Cette recherche a été menée par le Centre de Recherches et d'Études pour l'Action Territoriale (UCL - CREAT) en 2014.
Par définition, le tissu urbanisé est un concept plus large que le tissu urbain, qui fait spécifiquement référence à la ville. Il intègre les notions de tissus rural et périurbain, qui répondent à des logiques et structures spatiales différentes. Dès lors, on peut considérer que le tissu urbanisé est peu urbain.
L’élaboration de la typologie des tissus urbanisés est le fruit d’une méthode d’identification morphologique systématique. La caractérisation des tissus urbanisés repose sur le choix et le croisement d'indicateurs morphologiques structurants, à savoir i) le réseau des voies, ii) les découpages fonciers (parcellaires) et iii) les constructions (nombre de façades, d'étages, âge du bâti). Les principes méthodologiques sont explicités en généalogie et dans les documents associés à la présente fiche.
Le résultat de la méthodologie est la définition de douze tissus urbanisés wallons, caractérisés en types :
- Ouvert (isolé) ancien : tissu constitué d’immeubles datant d’avant 1945 isolés sur des grandes parcelles de plus de 6.5 ares implantées principalement hors des agglomérations;
- Ouvert (isolé) en ruban : tissu résultant d’une urbanisation extensive spontanée de maisons isolées sur des grandes parcelles de plus de 6.5 ares;
- Ouvert (isolé) en ensemble : tissu résultant d’un projet d’ensemble récent de maisons isolées sur des parcelles régulières de taille moyenne (entre 2.5 et 6.5 ares);
- Ouvert (isolé) haut : tissu résultant d’un projet d’ensemble d’immeubles à appartements de plus de trois étages isolés sur des grandes parcelles de taille variable;
- Mitoyen continu ancien : constitue le centre historique de la localité
- Mitoyen continu d'extension : se situe généralement aux anciennes portes de ville et de village et s’étire le long des voies structurantes;
- Mitoyen continu récent : se retrouve principalement dans les faubourgs et en frange urbaine;
- Mitoyen continu haut : Cette évolution des bords d’un tissu urbanisé se retrouve principalement dans les premières couronnes des grandes villes, au droit d’espaces ouverts très larges (cours d’eau, boulevard, place);
- Mitoyen discontinu ancien : constitue entre autres le noyau villageois historique;
- Mitoyen discontinu d'extension : s’étire hors agglomération et résulte d’un tracé à travers un plateau agricole ou dans une vallée;
- Mitoyen discontinu récent : se situe principalement dans les faubourgs des villes. Il est le résultat d’un projet d’ensemble construit récent de maisons jumelées sur des parcelles régulières de taille moyenne (entre 2.5 et 6.5 ares).
La cartographique des typologies des tissus urbanisés est une couche au format vecteur. La découpage est le résultat d'une "tessellation par la bissectrice" qui rend la forme du tissu en s'affranchissant du périmètre de l’ilot bâti. Il fait apparaitre les fronts bâtis hybrides présentant une hétérogénéité due à la présence de plusieurs types de bâtis.
Ce découpage a ensuite été redécoupé par le plan de secteur afin d’être limités aux zones de terrains résidentiels. Les ZACC non urbanisées et implantations non-résidentielles n’apparaissent donc pas dans la cartographie.
Chaque type de tissu a ensuite fait l’objet d’une analyse quantitative et qualitative ayant pour objectif d’en calculer les densités, l’intensité, de faire émerger les qualités urbanistiques des tissus et d’identifier les opportunités de densification visant l’amélioration du cadre de vie.
Cette typologie n’a pas pour ambition d’être exhaustive et détaillée, elle doit donc être utilisée en connaissance de cause comme un outil et non un atlas descriptif en soi. En effet, émanant d’une recherche sur les densités et la densification des tissus résidentiels, elle ne reprend pas les tissus industriels, économiques et productifs. Ensuite, les configurations du bâti sont ici modélisées dans un objectif de généralisation proposant une première lecture du territoire urbanisé wallon à l'échelle régionale et un support de mesures. Une analyse "qualitative" plus détaillée des tissus urbanisés devra tenir compte des conditions locales des cas d’études et faire l’objet de relevés de terrain et d’analyses de documents cartographiques anciens.
- Après ce résumé, sautez une ligne puis ajoutez le texte suivant :
Consultez toutes les informations sur cette donnée sur : http://geoportail.wallonie.be/catalogue/8658897c-27a9-44a5-8eb8-ff5752d3a33f.html.
Description: Cette couche de données est le résultat cartographique de l'identification et la classification des types de tissu urbanisé wallons et illustre le potentiel de transformation de ces derniers.
La typologie des tissus urbanisés wallons est un résultat d'une recherche CPDT (Conférence Permanente du Développement Territorial) sur la densification des tissus urbanisés. Cette recherche a été menée par le Centre de Recherches et d'Études pour l'Action Territoriale (UCL - CREAT) en 2014.
Par définition, le tissu urbanisé est un concept plus large que le tissu urbain, qui fait spécifiquement référence à la ville. Il intègre les notions de tissus rural et périurbain, qui répondent à des logiques et structures spatiales différentes. Dès lors, on peut considérer que le tissu urbanisé est peu urbain.
L’élaboration de la typologie des tissus urbanisés est le fruit d’une méthode d’identification morphologique systématique. La caractérisation des tissus urbanisés repose sur le choix et le croisement d'indicateurs morphologiques structurants, à savoir i) le réseau des voies, ii) les découpages fonciers (parcellaires) et iii) les constructions (nombre de façades, d'étages, âge du bâti). Les principes méthodologiques sont explicités en généalogie et dans les documents associés à la présente fiche.
Le résultat de la méthodologie est la définition de douze tissus urbanisés wallons, caractérisés en types :
- Ouvert (isolé) ancien : tissu constitué d’immeubles datant d’avant 1945 isolés sur des grandes parcelles de plus de 6.5 ares implantées principalement hors des agglomérations;
- Ouvert (isolé) en ruban : tissu résultant d’une urbanisation extensive spontanée de maisons isolées sur des grandes parcelles de plus de 6.5 ares;
- Ouvert (isolé) en ensemble : tissu résultant d’un projet d’ensemble récent de maisons isolées sur des parcelles régulières de taille moyenne (entre 2.5 et 6.5 ares);
- Ouvert (isolé) haut : tissu résultant d’un projet d’ensemble d’immeubles à appartements de plus de trois étages isolés sur des grandes parcelles de taille variable;
- Mitoyen continu ancien : constitue le centre historique de la localité
- Mitoyen continu d'extension : se situe généralement aux anciennes portes de ville et de village et s’étire le long des voies structurantes;
- Mitoyen continu récent : se retrouve principalement dans les faubourgs et en frange urbaine;
- Mitoyen continu haut : Cette évolution des bords d’un tissu urbanisé se retrouve principalement dans les premières couronnes des grandes villes, au droit d’espaces ouverts très larges (cours d’eau, boulevard, place);
- Mitoyen discontinu ancien : constitue entre autres le noyau villageois historique;
- Mitoyen discontinu d'extension : s’étire hors agglomération et résulte d’un tracé à travers un plateau agricole ou dans une vallée;
- Mitoyen discontinu récent : se situe principalement dans les faubourgs des villes. Il est le résultat d’un projet d’ensemble construit récent de maisons jumelées sur des parcelles régulières de taille moyenne (entre 2.5 et 6.5 ares).
La cartographique des typologies des tissus urbanisés est une couche au format vecteur. La découpage est le résultat d'une "tessellation par la bissectrice" qui rend la forme du tissu en s'affranchissant du périmètre de l’ilot bâti. Il fait apparaitre les fronts bâtis hybrides présentant une hétérogénéité due à la présence de plusieurs types de bâtis.
Ce découpage a ensuite été redécoupé par le plan de secteur afin d’être limités aux zones de terrains résidentiels. Les ZACC non urbanisées et implantations non-résidentielles n’apparaissent donc pas dans la cartographie.
Chaque type de tissu a ensuite fait l’objet d’une analyse quantitative et qualitative ayant pour objectif d’en calculer les densités, l’intensité, de faire émerger les qualités urbanistiques des tissus et d’identifier les opportunités de densification visant l’amélioration du cadre de vie.
Cette typologie n’a pas pour ambition d’être exhaustive et détaillée, elle doit donc être utilisée en connaissance de cause comme un outil et non un atlas descriptif en soi. En effet, émanant d’une recherche sur les densités et la densification des tissus résidentiels, elle ne reprend pas les tissus industriels, économiques et productifs. Ensuite, les configurations du bâti sont ici modélisées dans un objectif de généralisation proposant une première lecture du territoire urbanisé wallon à l'échelle régionale et un support de mesures. Une analyse "qualitative" plus détaillée des tissus urbanisés devra tenir compte des conditions locales des cas d’études et faire l’objet de relevés de terrain et d’analyses de documents cartographiques anciens.
- Après ce résumé, sautez une ligne puis ajoutez le texte suivant :
Consultez toutes les informations sur cette donnée sur : http://geoportail.wallonie.be/catalogue/8658897c-27a9-44a5-8eb8-ff5752d3a33f.html.
